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Astrophysique de la Matière Interstellaire

Bienvenue sur les pages de l'équipe Astrophysique de la Matière Interstellaire (AMIS).

 

 

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Il y a 6 années 8 mois

Ancien doctorant de l’IAS, Jean-Baptiste Durrive s’est vu décerner le Springer Thesis Award pour ses travaux de thèse de doctorat, soutenue le 13 octobre 2016. Son manuscrit, intitulé Baryonic Processes in the Large-Scale Structuring of the Universe (Processus baryoniques dans la structuration de l’univers à grande échelle), porte sur deux aspects fondamentaux de l’évolution du gaz intergalactique, depuis l’époque de la réionisation jusqu’à nos jours : l’émergence de champs magnétiques aux échelles cosmologiques, et la fragmentation de la matière dans les nappes et filaments de la toile cosmique. Sa thèse vient d’être publiée dans la collection Springer Theses. Félicitations à Jean-Baptiste!

Il y a 7 années 9 mois

En combinant des observations multi-longueurs d'onde obtenues depuis l'espace avec Planck et WISE et au sol avec le CFHT, une équipe de chercheurs est parvenue à sonder la structure de la matière interstellaire diffuse sur plusieurs degrés carrés avec une finesse inégalée. L'étude a en particulier permis de déterminer les propriétés de la turbulence interstellaire sur une gamme d'échelles spatiales encore jamais atteinte: de 10 à 0.01 pc.

Il y a 8 années 6 mois

Le ballon emportant l’instrument PILOT a été lancé depuis la base de Timmins, au Canada à 21h (heure locale) le dimanche 20 septembre 2015. La nacelle, de plus d’une tonne, la plus lourde emportée depuis 25 ans par le CNES, a été soulevée par un ballon stratosphérique de 800 000 m3 et a atteint l’altitude de 39 500 m après 3 heures de montée. Après un dernier transfert d’hélium effectué peu avant le décollage, les détecteurs ont atteint nominalement leur température de fonctionnement d’environ 320 mK en arrivant au plafond du vol, et les observations scientifiques ont alors pu débuter rapidement.

Il y a 8 années 6 mois

Pour réconcilier le modèle standard de la cosmologie avec la quantité d'amas de galaxies observés en rayon X, une équipe de chercheurs français a montré que les masses des amas devraient être 70% supérieures aux estimations actuelles. Ces résultats confortent les résultats de Planck obtenus en 2013 en observant les amas dans les micro-ondes. Néanmoins, le sujet continue d’intriguer les cosmologistes pour qui une telle différence de masse est difficile à expliquer. Notre compréhension de la physique des amas doit-elle est révisée ou le modèle standard cosmologique est-il incomplet ?

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